Invité par les responsables de la Fédération régionale des trufficulteurs d’Occitanie, l’eurodéputé Eric Andrieu est venu à Lalbenque samedi 24 novembre à 14 heures s’approprier le dossier de la Station Trufficole du Montat.
Et si les scientifiques réussissaient à percer le mystère de la truffe ? Gènes, reproduction, parfum… des chercheurs s’intéressent de près à ce précieux champignon.
Du Lot au Gard en passant par le Tarn, la truffe noire est en train de devenir un des produits vedette du terroir d’Occitanie. Vendue l’année dernière jusqu’à 1 000 euros le kilo au marché de Lalbenque, capitale de la truffe lotoise, elle est l’objet de beaucoup de fantasmes.
La première lettre d’information du syndicat des Trufficulteurs du Quercy vient de paraître. Elle est disponible au format PDF. Au sommaire : Truff’art, Cultur’truff, GIE, le renouveau au syndicat des trufficulteurs du Tarn et Garonne…
Que seront les marchés de Lalbenque ce prochain hiver ? « Ça va être compliqué, explique le président Alain Ambialet. Les premières truffes à la marque sont apparues dès la mi-juillet. Nous avons eu un été sec mais surtout très chaud. Même en arrosant, on observe des truffes de marque en train de disparaître avec les asticots de la mouche à truffe à l’intérieur. Progressivement, nous allons nous adapter pour assurer la pérennité de notre production de truffes noires »